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Article Bilan 2022 de la surveillance des encéphalopathies spongiformes des petits ruminants en France publié le 21/12/2023

En France, la surveillance des encéphalopathies spongiformes transmissibles (EST) chez les petits ruminants est constituée d'une surveillance programmée (alignée sur les exigences européennes au 1er janvier 2016), d’une surveillance événementielle, du contrôle sanitaire officiel (CSO) et de la police sanitaire (APMS). En 2022, neuf cas de tremblante atypique et aucun cas de tremblante classique ont été identifiés chez les ovins et caprins. Tous les cas ont été détectés via la surveillance programmée (abattoir et équarrissage). Le bilan de la surveillance programmée continue de montrer un maintien à un bas niveau de la tremblante atypique chez les petits ruminants en France.

Article Bilan de la surveillance de la brucellose bovine en France en 2020 et 2021 publié le 07/03/2023

Cet article dresse le bilan de la surveillance de la brucellose bovine en France en 2020 et 2021. Les dispositifs de surveillance évènementielle (qui repose sur la déclaration des avortements), de surveillance programmée (réalisée par dépistage sérologique) et de police sanitaire ont confirmé le statut indemne du pays. Toutefois, dans un contexte où le risque d’introduction de la brucellose bovine persiste, il est important de maintenir une bonne vigilance sur le terrain et de stimuler la déclaration des avortements, notamment via le diagnostic différentiel.

Article Bilan de la surveillance des encéphalopathies spongiformes des petits ruminants 2020-2021 en France publié le 28/02/2023

En France, la surveillance des encéphalopathies spongiformes transmissibles (EST) chez les petits ruminants est constituée d'une surveillance programmée (alignée sur les exigences européennes au 1er janvier 2016), de la surveillance événementielle, du contrôle sanitaire officiel (CSO) et de la police sanitaire (APMS). En 2020 et 2021, douze cas de tremblante atypique et aucun cas de tremblante classique ont été identifiés chez les ovins et caprins. Tous les cas ont été détectés via la surveillance programmée (abattoir et équarrissage). Le bilan de la surveillance programmée continue de montrer un maintien à un bas niveau de la tremblante atypique chez les petits ruminants en France.

Article Évaluation des risques chimiques liés à l’alimentation tout au long de la vie publié le 13/04/2022

Apportées par des activités anthropiques ou naturellement présentes dans l’environnement, de nombreuses substances chimiques contaminent nos aliments. Afin d’évaluer le risque chronique associé à l’ingestion de ces substances, nous proposons une approche innovante permettant d’estimer des trajectoires d’exposition vie-entière à un contaminant chimique à l’échelle individuelle. Cette méthode permet de considérer l’évolution des comportements de consommation au cours de la vie, les variations des contaminations alimentaires au cours des décennies, mais aussi la potentielle accumulation vie-entière des substances dans l’organisme. Trois exemples contrastés de dangers chimiques ont été retenus : le cadmium, les polychlorobiphényles et le bisphénol A. Nous présentons ici quelques résultats d’évaluation des risques sanitaires pour ces trois substances retrouvées dans de nombreux aliments mais présentant des propriétés physico-chimiques différentes. La méthodologie développée dans ces travaux permettra de prédire les risques sanitaires associés à la présence de substances chimiques dans les aliments, en fonction du profil sociodémographique vie-entière des individus.

Article [MRE] Bilan de la surveillance des maladies réglementées et des troubles de santé de l’Abeille mellifère domestique Apis mellifera de 2017 à 2019 publié le 27/12/2021

Sur la période 2017-2019, l’État a mis en œuvre ou subventionné différents dispositifs et systèmes de surveillance chez les abeilles mellifères domestiques (Apis mellifera) :

- Des dispositifs de surveillance de dangers sanitaires biotiques règlementés. Quatre dangers sanitaires étaient classés en dangers sanitaires de 1ère catégorie pendant cette période : Paenibacillus larvae (agent de la loque américaine), Nosema apis (agent de la nosémose), Tropilaelaps spp. (agent de la tropilaelose), Aethina tumida (le petit coléoptère des ruches) et deux en 2e catégorie : Vespa velutina var. nigrithorax (frelon asiatique à pattes jaunes) et Varroa destructor (agent de la varroose). Les résultats de ces dispositifs de 2017 à 2019 ont confirmé l’absence des deux agents exotiques, Tropilaelaps spp. et A. tumida sur le territoire national, la présence enzootique de la loque américaine et de V. destructor, la détection de ce parasite sur l’île de La Réunion et la progression de l’aire de répartition du frelon asiatique à pattes jaunes (six nouveaux départements colonisés). Aucun foyer de nosémose à N. apis n’a été confirmé pendant cette période.

- Un dispositif de surveillance des mortalités massives aiguës d'abeilles adultes avec suspicion d'intoxication géré par l’Etat, révisé en 2018.

- L’Observatoire des mortalités et des affaiblissements de l’abeille mellifère (OMAA) créé en 2017 et une enquête nationale de mortalité hivernale des colonies d’abeilles (ENMHA) lancée en 2018.

Sur cette période, ces différents dispositifs, l’Observatoire et l’Enquête se sont appuyés pour la plupart sur l’expertise de groupes de travail dédiés de la Plateforme nationale d’épidémiosurveillance en santé animale (Plateforme ESA).

Article [MRE] Bilan de la surveillance de la brucellose bovine en France entre 2015 et 2019 publié le 27/12/2021

Cet article dresse le bilan de la surveillance de la brucellose bovine en France entre 2015 et 2019. Les dispositifs de surveillance évènementielle (qui repose sur la déclaration des avortements), de surveillance programmée (réalisée par dépistage sérologique) et de police sanitaire ont démontré l’absence de foyers de brucellose dans les élevages bovins pendant toute cette période. Ces résultats confirment la situation indemne du pays. Cependant, cette bonne situation conduit à la présence de réactions faussement positives lors des opérations de surveillance évènementielle ou programmée et à une certaine démotivation pour la surveillance évènementielle de la part des acteurs de terrain.

Article [MRE] Bilan de la surveillance des encéphalopathies spongiformes des petits ruminants de 2016 à 2019 publié le 13/12/2021

La surveillance des encéphalopathies spongiformes transmissibles (EST) chez les petits ruminants en France se compose d'une surveillance programmée (alignée sur les exigences européennes au 1er janvier 2016), une surveillance événementielle, le contrôle sanitaire officiel (CSO) et la police sanitaire (APMS). Entre 2016 et 2019, 29 cas de tremblante atypique et sept cas de tremblante classique ont été identifiés chez les ovins et caprins. Parmi eux, 26 cas de tremblante atypique et un cas de tremblante classique ont été détectés dans le cadre de la surveillance programmée à l’abattoir et à l’équarrissage. Deux cas de tremblante classique ont été détectés par la surveillance évènementielle et deux cas de tremblante atypique via le CSO. La police sanitaire a permis de détecter un cas atypique et quatre cas classiques. Le bilan de la surveillance programmée continue de montrer un maintien à un bas niveau de la tremblante classique et atypique chez les petits ruminants.

Article [MRE] Bilan de la surveillance de l’Influenza aviaire et de la maladie de Newcastle en France en 2016 publié le 09/12/2020

La France a perdu le statut indemne vis-à-vis de l’influenza aviaire hautement et faiblement pathogène (IA HP et FP) au sens du code sanitaire de l’OIE en novembre 2015 suite à une épizootie d’IA HP et FP H5 qui a affecté 93 élevages de volailles jusqu’en avril 2016. Cette première épizootie a entraîné un plan d’assainissement par vide sanitaire de la filière palmipède gras du Sud-Ouest, accompagné d’un renforcement de la surveillance programmée pour contrôler l’efficacité des mesures de lutte. Une seconde épizootie, due à un virus IAHP H5N8 introduit en Europe par des oiseaux sauvages migrateurs, est survenue dans le sud-ouest de la France à partir de novembre 2016. Contrairement à la première épizootie, cette seconde crise a aussi affecté la faune sauvage, comme l’a montré la surveillance événementielle renforcée. Ces deux épisodes épizootiques successifs ont confirmé l’importance de la surveillance événementielle pour la détection précoce des foyers sauvages et domestiques et le rôle clé de la surveillance programmée en élevage dans le contrôle des mesures de lutte mises en place. Les résultats 2016 de la surveillance événementielle de la maladie de Newcastle/ paramyxovirose du pigeon montrent que les virus APMV1 virulents continuent de circuler sur un mode enzootique dans la faune sauvage et chez les Colombiformes domestiques, rappelant l’importance de la vaccination chez ces oiseaux comme outil de maîtrise de la maladie.

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