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Article Bilan de la surveillance des encéphalopathies spongiformes des petits ruminants 2020-2021 en France publié le 28/02/2023

En France, la surveillance des encéphalopathies spongiformes transmissibles (EST) chez les petits ruminants est constituée d'une surveillance programmée (alignée sur les exigences européennes au 1er janvier 2016), de la surveillance événementielle, du contrôle sanitaire officiel (CSO) et de la police sanitaire (APMS). En 2020 et 2021, douze cas de tremblante atypique et aucun cas de tremblante classique ont été identifiés chez les ovins et caprins. Tous les cas ont été détectés via la surveillance programmée (abattoir et équarrissage). Le bilan de la surveillance programmée continue de montrer un maintien à un bas niveau de la tremblante atypique chez les petits ruminants en France.

Article [MRE] Bilan de la surveillance de la brucellose bovine en France entre 2015 et 2019 publié le 27/12/2021

Cet article dresse le bilan de la surveillance de la brucellose bovine en France entre 2015 et 2019. Les dispositifs de surveillance évènementielle (qui repose sur la déclaration des avortements), de surveillance programmée (réalisée par dépistage sérologique) et de police sanitaire ont démontré l’absence de foyers de brucellose dans les élevages bovins pendant toute cette période. Ces résultats confirment la situation indemne du pays. Cependant, cette bonne situation conduit à la présence de réactions faussement positives lors des opérations de surveillance évènementielle ou programmée et à une certaine démotivation pour la surveillance évènementielle de la part des acteurs de terrain.

Article Les Plans de Surveillance de l’Antibiorésistance en santé animale: le contexte européen et les évolutions récentes publié le 01/11/2012

Afin de contribueràpréserver l’efficacité des traitements antibiotiques pour l’Homme, l’Union européenne a mis en place dès 2003 un programme de surveillance de l’antibiorésistance dans le cadre de sa politique de lutte contre les zoonoses. Cette politique repose sur de précédentes initiatives scientifiques, nationales ou internationales, ayant vu le jour progressivement dès la mise en évidence dans les années 1960 du risque pour la santé publique de l’apparition de bactéries résistantes suite à des usages non thérapeutiques d’antibiotiques.Apartir de 2007, l’Autorité européenne de sécurité alimentaire (EFSA) a produit plusieurs documents permettant d’harmoniser les méthodes d’échantillonnage, de détermination des phénotypes de résistance, de collecte et d’analyse des données au niveau européen. Les espèces bactériennes principalement surveillées sont celles responsables de zoonoses (Campylobacter et Salmonella), mais la surveillance s’est aussi étendueàdes bactéries dites indicatrices comme Escherichia coli et les entérocoques. Fort de cette expérience, le dispositif semble maintenant se diriger vers une plus grande précision des données épidémiologiques collectées et une augmentation du nombre de couples espèce bactérienne-espèce animale surveillés afin de mieux évaluerle risque pourla population de contracter des bactéries résistantes aux antibiotiques via son alimentation.

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